Toute la lumière que nous ne pouvons voir

Anthony Doerr, Toute la lumière que nous ne pouvons voir, Albin Michel, 2015

Par Daniel Kunstler.

Parmi les romans américains récents, celui qui m’a touché, voire affecté, bien plus que d’autres c’est Toute la lumière que nous ne pouvons voir, d’Anthony Doerr, dont l’action se déroule en France, à Saint-Malo. Bien que située pendant la guerre, l’histoire n’a rien de didactique et n’est pas un sermon, mais reste emblématique d’une humanité qui refuse de céder à la haine bien que soumise à une puissante conspiration contre elle.

Bon nombre de critiques ont apprécié la brièveté des chapitres. Outre l’emploi de cette formule, le style se distingue par son économie qui donne au roman son élégance, son intensité et sa facilité de lecture. Voici un auteur qui ne parle jamais pour ne rien dire.

Catégorie : Littérature étrangère anglophone (USA). Traduction : Valérie Malfoy.

Liens : chez l’éditeur.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Un Site WordPress.com.

Retour en haut ↑