Jean-Louis Milesi, Les bottes de Clint Eastwood, Le Passage, 2017
Par François Lechat.
Comme son titre le suggère, un petit roman sans prétention, typiquement américain, sans autre ambition que de divertir sans devenir idiot. Je ne vous raconte pas le point de départ, qu’il vaut mieux découvrir. Mais sachez que l’héroïne est du genre barge au grand cœur, avec une moralité un peu élastique mais un vrai sens de l’humain et de l’humour, et la langue bien pendue. Il lui arrivera évidemment quelques aventures pas banales, dont une rencontre avec Clint Eastwood qui la déçoit un peu car le grand acteur s’avère moins séduisant que prévu, ayant les fesses plates et des oignons aux pieds. Mais les bottes que Didi lui a apportées lui vont bien, et ses fesses à elle, qui jouent un certain rôle dans l’intrigue, passeront à la postérité. Vous saurez comment si vous vous lancez dans cette histoire haute en couleurs et en gros mots, plutôt réussie dans le genre.
Catégorie : Littérature française.
Liens : chez l’éditeur.
Merci pour cette idée de lecture. J’ai beaucoup aimé !
Et je serais bien en peine de rajouter quoi que ce soit à votre compte-rendu : il est parfait.
Cath.